J'ai passé ma journée à lire la correspondance d'Anaïs Nin et Henry Miller. Je n'ai pas fini mais je me sens un peu frustrée ; j'espérais plus de considérations littéraires. Cette correspondance n'a pu être éditée qu'après la mort de Hugo, le mari d'Anaïs Nin. Bon, rien de vraiment nouveau si on a déja lu le journal d'
Anaïs Nin et les lettres déjà éditées d'Henry Miller, même tronquées.
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