À gauche, les expansions. Là, j'avoue que je ne suis pas restée très longtemps, cela ressemblait à des bouses d'éléphant dont certaines colorées. Vous descendez quelques escaliers et vous voici devant les compressions d'automobiles. Vous connaissez, je ne vous laisse pas de photos. Sagement rangés dans une caisse en bois, les animaux imaginaires en fer ont eu ma préférence. Je n'ai rien compris à cet artiste ? C'est possible.
1 commentaire:
trop d'honneur pour cette citation Amaryllis... J'avoue que moi aussi j'ai été surprise par le côté complètement asseptisé de l'expo, où il ne reste que l'empreinte graphique, où l'on ne ressent pas le foisonnement de l'art... L'émotion n'est pas au rdv c'est vrai... tout est presque trop propre. C'était pourtant un grand monsieur. Petite préférence pour ma part pour les expansions et la sensualité de la "peau" de certaines, renvoyant en ricochet à Louise Bourgeois. Une de ses plus belles sculptures c'est assurément sa "gueule"...
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